Impeccable
Mardi 19 mars à 19h, salle de l’Atelier de l’Exil
IMPECCABLE, de Mariette Navaro avec Eliot Lerner.
Spectacle invité, partenariat avec Côté cour et Ligue de l’Enseignement 39.
Entrée : 10€, réservation obligatoire, places limitées
Une création de Théâtre sur paroles,
« Impeccable a été écrit pour un public d’adolescents, et pour interroger leur rapport au voyage, à l’étranger géographique (qui est parfois à quelques kilomètres de chez eux seulement) et, en miroir, à l’accueil de ceux qui passent les frontières, par choix ou par contrainte. Que veut dire «chez soi» dans un monde en plein mouvement, en pleine métamorphose ?
Dans Impeccable, le «chez soi» est l’espace de la salle de classe dans laquelle Viktor s’invite et vient bousculer les habitudes. Chez lui partout, il est un «citoyen du monde» qui chatouille chez ses auditeurs les notions d’identité et d’appartenance. Qui leur pose la question de leurs propres rêves d’ailleurs.
La langue que parle Viktor est une langue de théâtre. C’est une langue volontairement poétique, comme si le personnage portait son désir de liberté et d’insoumission jusque dans son langage. Viktor est un personnage qui prend la poésie très au sérieux. Pour lui chaque mot compte et chaque mot a un poids. Il s’exprime dans un français à la fois réinventé et très littéraire, comme peuvent le parler des passionnés de littérature qui ont une connaissance livresque de la langue étrangère ».
Les Trois mousquetaires
Les trois mousquetaires d’après Alexandre Dumas
Lundi 12 et mercredi 14 février à 19h30 grande salle du Boeuf sur le toit.
Spectacle des élèves de CM1-CM2 des écoles Jacques Prévert et Jean-Jacques Rousseau. Entrée : 4€ et 7€
Trois mousquetaires qui étaient quatre !…
Voilà une drôle d’aventure.
Joué et rejoué, adapté et réactualisé, le roman d’Alexandre Dumas est captif. Plein de verve, de rebondissements, de revirements, de détours sinueux, d’intrigues et… d’humour.
Le voilà encore une fois représenté au théâtre, encore une fois revisité, modifié, adapté, mais toujours drôle et mouvementé. Des enfants incarnent les personnages, avec ingénuité et fantaisie. On se bat, on s’embrasse, on rit, on se pourchasse, on s’entraide. « Tous pour un et un pour tous », voilà la loi, sur le plateau comme dans la vie !
Un vrai Noël à l’ancienne.
Tea Time, crime de Noël : Un vrai Noël à l’ancienne
Jeudi 21, vendredi 22 à 19het samedi 23 décembre à 17h.
Traditionnel spectacle de Noël pour adultes, servi avec quelques crimes, muffins et mince pies. Entrée : 10€ et 8€.
Avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret
« – J’espère que notre fête de Noël vous plaira, monsieur Poirot. Nous serons en famille, vous savez. Ma petite-fille, mon petit-fils et un camarade à lui, et puis ma petite-nièce Bridget, Diana, une cousine, et David Welwyn, un vieil ami. Une soirée entre nous, donc. Mais Edwina Morecombe m’a affirmé que c’est cela que vous vouliez voir : un Noël à l’ancienne. – C’est bien cela, un vrai Noël anglais à l’ancienne. -Eh bien, chez nous, vous serez servi ! »
Dix convives, sans compter le petit personnel ! Autant de possibilités de crimes, d’empoisonnements, de coups de révolver, de glissades malencontreuses sur une plaque de verglas, de machinations diaboliques… Que se passe-t-il entre la dinde aux marrons et le norman hole (glass of spirits between courses to aid digestion) ?
Il est préférable de réserver ses places pour ces dangereuses soirées.
Le sac à malices de Madame Alice !
Spectacle jeune public.
Séance pour scolaire : à la demande jeudi 7 et vendredi 8 décembre
Avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret
Elle revient, madame Alice, et dans son grand sac à malices, des histoires pour les petits et les plus grands. Et aussi de drôles de petits personnages qui jaillissent d’on ne sait où, pour faire on ne sait quoi. Peut-être pour préparer l’arbre de Noël, tout simplement, ou les petits gâteaux, ou des surprises, ou inventer de nouvelles histoires … comment savoir ?
Madame Alice joue une version pour les petits, les 3-6 ans, mais elle a aussi une version pour les plus grands, les à partir de 7 ans, jusqu’à 10 ans et bien au-delà, pour les rêveurs, les éternels enfants, les amoureux de Noël, les mordus des guirlandes, les accros des boules de sapin et des clochettes tintinnabulantes.
Madame Alice ne raconte jamais seule. L’accompagnent Gustave le Tomte qui vient du froid, moitié arbre, moitié feuille – prononcer Goustaph sinon il perd ses feuilles; il a quitté sa Scandinavie natale pour quelque temps. Il y a aussi Mimile le musicien. Celui-là joue avec de drôles de machines à sons, à bruits. Il fait sonner des horloges invisibles, passer des trains, s’envoler des oiseaux et même jouer des pianos. Et ces trois compères racontent, jouent, chantent, font apparaître et disparaître tout un monde dé-li-cieux.
45mn à 1heure de contes, d’histoires, de chansons de Noël.
Maternelles et écoles primaires …
Mets en bouche
Jeudi 19 et vendredi 20 octobre à 19h30.
Conception et réalisation de Lionel Prével.
Avec Lionel Prével, accompagné de Françoise Bénéjam et Michel Beuret. Lumière et régie : Tristan Vuillermoz. Entrée : 10€ et 8 €
Un spectacle autour de la gourmandise et du goût, des histoires de tables, de fêtes où se côtoient cuisines du passé et du présent, des récits de bouche et de fourchettes. Et des chansons aussi.
Le menu de la soirée offre un assortiment de textes mis en théâtre et musique, servis par deux comédiens-chanteurs ( autrefois chanteurs et musiciens accompagnaient les repas).
Il y aura certainement quelques couacs pendant le service, il est pos- sible que poulets et volailles s’insurgent.
Une mise en forme théâtrale drôle et bigarrée.
Un choix d’auteurs éclectique : Brillat-Savarin, Rabelais, E. Rostand… et quelques autres…
Et pour finir : A l’entrée de la salle des agapes, un plat où les spec- tateurs arrivants auront déposé une recette de cuisine propre qu’ils apprécient… On pourra piocher dans ce plat à la fin du spectacle… et repartir ainsi avec une autre recette surprise : La confiture de nouille, Le veau aux carottes de Tante Franquette, Les petits frangins de Pi- galle et leurs dames en soufflé,… et le spectacle continuera de vivre à la maison.
« Qui dit truffe, prononce un grand mot qui réveille des souvenirs érotiques et gourmands chez le sexe portant jupes, et des souvenirs gourmands et érotiques chez le sexe portant barbe ».
Vue sur le parc
Samedi 30 septembre à 19h30
Comédie de Christine Atienza
Mise en scène : Stéphane Dausse. Avec : Sophie Rambeau, Aurélia de Roubaix, Karine Hervieux Causse, Nicolas Kandel et Stéphane Dausse.
Lumière : Tristan Vuillermoz. Entrée : 10€ et 8 €
Comédie de boulevard mêlant psychanalyse et adultère avec humour et dérision.
« Vue sur le parc est une pièce de boulevard plus fine et riche qu’il n’y parait, écrite dans les règles de l’art inhérentes à ce genre théâtral. Distraire, faire rire ou simplement sourire en rappelant au spectateur que la situation bien que comique lorsqu’elle est vécue par les per- sonnages de la pièce peut devenir plus amère, voire plus dramatique, lorsqu’on est parfois amené à les vivre soi-même, étant projeté dans un tourbillon semblable. Bref, même sous une allure légère se cache toujours un réel plus quotidien. (…)
J’ai déjà monté avec cette troupe du Obaldia, du Tchekhov, puis Les chutes du Zambèse de Daniel Soulier, Carnage de Yasmina Reza, Huis-clos de JP Sartre, et cette fois je vous propose cette comédie légère revisitée de Christine Atienza qui, j’en suis sûr, saura vous sé- duire et distraire ». Stéphane Dausse.
Le Tour du monde en 80 jours et autres voyages…
les 27 et 28 juillet à 19h grande salle du Bœuf sur le toit.
Aboutissement du stage de juillet un spectacle théâtral, musical et chorégraphié.
Phileas Fogg et ses complices engagent une course folle autour du monde : 80 jours pour en faire le tour. Courent un gentleman anglais, un valet de chambre français, une princesse indienne, trois détectives les plus nuls et les plus pathétiques de toutes les séries allemandes. Ils croisent, rencontrent et défient des bisons, des indiens, des joueurs de golf, des majordomes stylés et des lapins-chats en gibelotte.
Très librement adapté du roman de Jules Verne, cette histoire transporte public et acteurs à travers le monde, fait entendre des musiques exotiques, découvrir des gastronomies nouvelles : Suez, Bombay, Hong Kong, New-York …
Et puis, après le retour à Londres et le triomphe de la belle équipe, le voyage se poursuivra en France, à Saliès-de-Bearn. Aaaah ! Saliès-de-Bearn, son établissement thermal d’inspiration mauresque et ses cures d’eau salée, sa Crypte du Bayaà, son Casino ! Dans ce cadre exceptionnel et la magie de ces lieux, l’inspecteur Drive (toujours ivre) mènera sa dernière enquête criminelle.
De l’émotion, du dépaysement et de l’humour sans aggravation de l’empreinte carbone !…
Entrée : 4 et 8€
De Nosfératu à Belle-Poulette
Lecture musicale dans les jardins de Macornay, dimanche 4 juin à 16h30.
De Nosfératu à Belle-Poulette.
Avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret.
Les monstres nous entourent, les vampires rasent les murs, les héros défenseurs de la veuve et de l’orphelin n’en mènent pas large, et les descendantes des dinosaures ont la langue bien pendues. Bizarre, bizarre, comme c’est bizarre.
– Je me demande si je ne suis pas en train de jouer avec les mots.
Et si les mots étaient faits pour ça ? Boris Vian
Dans un jardin, lecture d’une histoire, ou deux, un peu de musique, une chanson, et l’on repart pour un autre jardin, son pliant sous le bras. Les histoires et les chansons s’égrènent au fil de la promenade.
Avec le Foyer rural de Macornay
Également le 17 juin à Saint Claude. Quartier des Avignonnets.
Krash (extraits)
Lundi 15 mai à 18h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Présentation de l’atelier de théâtre des enfants et ados.
Texte : Jean-Yves Picq
Avec Erwan, Nathan, Rosalie, Maé, Chelsy, Fernand, Louis et Thibaud.
Ils ont démarré le travail fin janvier, ils se sont bien amusés avec ce texte, cet humour, et l’imaginaire de l’auteur, ils se sont confrontés à une écriture contemporaine ( pas facile, pas linéaire), et ils présentent leur travail. Entrée libre. Il est préférable de réserver.
Ça se passe peut-être après une catastrophe naturelle, ou un accident d’avion, ou dans un tableau de Picasso, ou plutôt, les personnages seraient issus d’un puzzle de tableaux de Picasso, ou jailliraient de la poubelle d’un savant fou … en tout cas, c’est le bazar ! D’ailleurs personne n’y comprend rien, d’autant plus qu’on y voit rien. Au commencement il y a bien le verbe, mais pas de lumière. Alors, on se marche dessus, on manque trébucher… Alors, ça râle, ça grince… Et puis fiat lux ! On se retrouve. Et les mêmes vieilles querelles reprennent. En tout cas, c’est vraiment le bazar.
Jean-Yves Picq a écrit une vingtaine de pièces, toutes représentées en France, certaines traduites et jouées à l’étranger.
Metteur en scène et comédien, il a collaboré avec de nombreux théâtres et compagnies tels que le TNP-Villeurbanne, l’Attroupement 2.
Auteur de livrets d’art lyrique ou de danse, il donne lui-même des lectures publiques,accompagné ou non d’un musicien.
Membre fondateur des Ecritures Vagabondes. Participe régulièrement à des résidences d’écriture à l’étranger.
3 Apéro-découvertes
Les 23, 24 et 25 mars à 19h salle de l’Atelier de l’Exil.Trois lectures musicales dans le cadre de la Semaine de la langue française et de la francophonie. Trois apéros, trois univers d’écrivains francophones
Avec Françoise Bénéjam, Stéphane Dausse et Michel Beuret
Entrée : 6 €/ 15 € pour les 3 soirs.
Jeudi 23 mars à 19h. Duel, passe d’armes d’écrivains
Deux amis, Christian Garcin et Pierre Autin-Grenier, tous deux écrivains, se lancent un défi : s’affronter en un duel littéraire. Les personnages fictifs Christophe Garçon et Paul Autan-Grognard vont rivaliser de hargne, de talent et d’humour dans l’espoir de gagner le prix : quelques bouteille de Châteauneuf-du-Pape.
Vendredi 24 mars à 19h. Haïti
Au menu, une nouvelle de René Depestre, où soif de désir, envie de jouissance, appétit et plaisir habitent chaque ligne du récit. Fiction libertine pleine de malice conclue par un échec : la jolie guide chinoise Faisanne dorée d’heureux augure ne veut rien savoir, le visiteur étranger Illustre hôte en sera pour ses frais.
Et puis, il y a l’histoire de Madeleine, racontée une nuit de pluie de juillet à Port-au- Prince. Et l’histoire d’Orisna, une jeune fille d’une rare beauté, qu’on emmena chez le Pape. Ces deux contes de sorcier sont rapportés par Gary Victor.
Samedi 25 mars à 19h. Les cousins de Québec
De l’autre côté de l’Atlantique, Michel Tremblay raconte une soirée ratée et un fou rire terrible à l’opéra, sa boulimie de musique et de chansons, sa passion pour le glamour de Rita Hayworth ou Betty Grable. Il raconte l’été passé, un été d’enfance, à la recherche de Blanche-Neige et de son insipide conjoint le grand insignifiant Prince charmant. Et c’est beau, drôle et émou- vant. On aimerait bien arpenter les rues de Montréal la nuit, avec Michel Tremblay.