LES TROIS MOUSQUETAIRES

LES TROIS MOUSQUETAIRES
Représentations les 25 et 26 juillet à 19h.
Grande salle du Boeuf sur le toit.

Par les enfants et ados du grand stage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Promenade dans les jardins

Dimanche 02 juin à 16h30

à Vaux-sous-Bornay, gratuit.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sport, moi jamais.

Lecture spectacle. Samedi 23 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Mattéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.

Mise en espace d’extraits de pièces de Elodie Menant, Joël Jouanneau, Vincent Farasse.

L’intimité de quelques grands champions, Usain Bolt, Rafael Nadal ou Laure Manaudou, mais aussi celle de leur entourage, famille, pour découvrir ce qui les motive et leur permet de « voler ».

Egalement la vie d’une athlète plus anonyme – et fictive, Julie Linard – mais qui est également une championne, même si elle est moins médiatique et ne remporte pas de titres ; le sport ouvrier, etc…

Quel est notre rapport au sport ? En confrontant notre propre perception avec celle de ces athlètes hors normes, nous mesurons ce qui fait leur force : un mental extraordinaire au service d’une volonté de fer qui leur fait supporter un entraînement inhumain, avec une obsession : gagner !

En garde !

Soirée lecture et escrime. Vendredi 22 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Matéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.

Textes : Alexandre Dumas, Maupassant, Arturo Pérez-Reverte, Michel Zévaco.

Le sexisme : « Elles se mirent en garde au milieu d’une rumeur galante et de plaisanteries chuchotées. Un aimable sourire s’était fixé sur les lèvres de juges qui approuvaient les coups par un petit bravo ».

L’art : « Notre art tombe en désuétude, madame. Les combats à l’arme blanche se font rares, et puis le pistolet est d’un maniement plus facile et il n’exige pas une discipline aussi rigoureuse. L’escrime est devenu un passe-temps frivole. Maintenant on l’appelle sport ! Comme s’il s’agissait de faire de la gymnastique en maillot ! ».

L’épopée : « Au même instant son épée brilla à sa main, et il fondit sur son adversaire. Aussi les deux fers se trouvèrent-ils engagés jusqu’à la garde; ce fut son adversaire qui fit un pas de retraite ».

A bicycletteueu…

Soirée lecture et vélo. Jeudi 21 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Matéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.

Textes : Antoine Blondin, Tristan Garcia, Emmanuel Ruben, Eric Fottorino.

Le tour de France : « Le final fut extravagant de beauté dans un décor digne du fameux Enfer du Nord qu’on évoque si souvent : pavés au sol, fumées au ciel, sinueux comme une tranchée. »

Le dopage : « Ernesto était capable de changer intégralement le sang de quelqu’un en moins de vingt quatre heures ; Victoria avait loué un garage isolé en banlieue et César, comateux, laissa son manager effectuer la transfusion ».

L’orgueil masculin : « En point de mire, un fada torse nu se déhanche sur sa bécane, c’est notre premier camarade cycliste, nous le prenons en chasse ; vexé d’être dépassé dans une pente par deux forcenés trimballant leur barda tels des bagnards, il remet un coup de collier, ne veut pas s’avouer vaincu et nous dépose en haut de la bosse. ».

Impeccable

Mardi 19 mars à 19h, salle de l’Atelier de l’Exil
IMPECCABLE, de Mariette Navaro avec Eliot Lerner.
Spectacle invité, partenariat avec Côté cour et Ligue de l’Enseignement 39.
Entrée : 10€, réservation obligatoire, places limitées

Une création de Théâtre sur paroles,

« Impeccable a été écrit pour un public d’adolescents, et pour interroger leur rapport au voyage, à l’étranger géographique (qui est parfois à quelques kilomètres de chez eux seulement) et, en miroir, à l’accueil de ceux qui passent les frontières, par choix ou par contrainte. Que veut dire «chez soi» dans un monde en plein mouvement, en pleine métamorphose ?

Dans Impeccable, le «chez soi» est l’espace de la salle de classe dans laquelle Viktor s’invite et vient bousculer les habitudes. Chez lui partout, il est un «citoyen du monde» qui chatouille chez ses auditeurs les notions d’identité et d’appartenance. Qui leur pose la question de leurs propres rêves d’ailleurs.

La langue que parle Viktor est une langue de théâtre. C’est une langue volontairement poétique, comme si le personnage portait son désir de liberté et d’insoumission jusque dans son langage. Viktor est un personnage qui prend la poésie très au sérieux. Pour lui chaque mot compte et chaque mot a un poids. Il s’exprime dans un français à la fois réinventé et très littéraire, comme peuvent le parler des passionnés de littérature qui ont une connaissance livresque de la langue étrangère ».

Les Trois mousquetaires

Les trois mousquetaires d’après Alexandre Dumas
Lundi 12 et mercredi 14 février à 19h30 grande salle du Boeuf sur le toit.
Spectacle des élèves de CM1-CM2 des écoles Jacques Prévert et Jean-Jacques Rousseau. Entrée : 4€ et 7€

Trois mousquetaires qui étaient quatre !…
Voilà une drôle d’aventure.
Joué et rejoué, adapté et réactualisé, le roman d’Alexandre Dumas est captif. Plein de verve, de rebondissements, de revirements, de détours sinueux, d’intrigues et… d’humour.
Le voilà encore une fois représenté au théâtre, encore une fois revisité, modifié, adapté, mais toujours drôle et mouvementé. Des enfants incarnent les personnages, avec ingénuité et fantaisie. On se bat, on s’embrasse, on rit, on se pourchasse, on s’entraide. « Tous pour un et un pour tous », voilà la loi, sur le plateau comme dans la vie ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un vrai Noël à l’ancienne.

Tea Time, crime de Noël : Un vrai Noël à l’ancienne
Jeudi 21, vendredi 22 à 19het samedi 23 décembre à 17h.
Traditionnel spectacle de Noël pour adultes, servi avec quelques crimes, muffins et mince pies. Entrée : 10€ et 8€.
Avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret

« – J’espère que notre fête de Noël vous plaira, monsieur Poirot. Nous serons en famille, vous savez. Ma petite-fille, mon petit-fils et un camarade à lui, et puis ma petite-nièce Bridget, Diana, une cousine, et David Welwyn, un vieil ami. Une soirée entre nous, donc. Mais Edwina Morecombe m’a affirmé que c’est cela que vous vouliez voir : un Noël à l’ancienne. – C’est bien cela, un vrai Noël anglais à l’ancienne. -Eh bien, chez nous, vous serez servi ! »

Dix convives, sans compter le petit personnel ! Autant de possibilités de crimes, d’empoisonnements, de coups de révolver, de glissades malencontreuses sur une plaque de verglas, de machinations diaboliques… Que se passe-t-il entre la dinde aux marrons et le norman hole (glass of spirits between courses to aid digestion) ?

Il est préférable de réserver ses places pour ces dangereuses soirées.

Le sac à malices de Madame Alice !

Spectacle jeune public.
Séance pour scolaire : à la demande jeudi 7 et vendredi 8 décembre
Avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret

Elle revient, madame Alice, et dans son grand sac à malices, des histoires pour les petits et les plus grands. Et aussi de drôles de petits personnages qui jaillissent d’on ne sait où, pour faire on ne sait quoi. Peut-être pour préparer l’arbre de Noël, tout simplement, ou les petits gâteaux, ou des surprises, ou inventer de nouvelles histoires … comment savoir ?

Madame Alice joue une version pour les petits, les 3-6 ans, mais elle a aussi une version pour les plus grands, les à partir de 7 ans, jusqu’à 10 ans et bien au-delà, pour les rêveurs, les éternels enfants, les amoureux de Noël, les mordus des guirlandes, les accros des boules de sapin et des clochettes tintinnabulantes.

Madame Alice ne raconte jamais seule. L’accompagnent Gustave le Tomte qui vient du froid, moitié arbre, moitié feuille – prononcer Goustaph sinon il perd ses feuilles; il a quitté sa Scandinavie natale pour quelque temps. Il y a aussi Mimile le musicien. Celui-là joue avec de drôles de machines à sons, à bruits. Il fait sonner des horloges invisibles, passer des trains, s’envoler des oiseaux et même jouer des pianos. Et ces trois compères racontent, jouent, chantent, font apparaître et disparaître tout un monde dé-li-cieux.

45mn à 1heure de contes, d’histoires, de chansons de Noël.
Maternelles et écoles primaires …

 

Mets en bouche

Jeudi 19 et vendredi 20 octobre à 19h30.
Conception et réalisation de Lionel Prével.
Avec Lionel Prével, accompagné de Françoise Bénéjam et Michel Beuret. Lumière et régie : Tristan Vuillermoz. Entrée : 10€ et 8 €

Un spectacle autour de la gourmandise et du goût, des histoires de tables, de fêtes où se côtoient cuisines du passé et du présent, des récits de bouche et de fourchettes. Et des chansons aussi.
Le menu de la soirée offre un assortiment de textes mis en théâtre et musique, servis par deux comédiens-chanteurs ( autrefois chanteurs et musiciens accompagnaient les repas).

Il y aura certainement quelques couacs pendant le service, il est pos- sible que poulets et volailles s’insurgent.
Une mise en forme théâtrale drôle et bigarrée.
Un choix d’auteurs éclectique : Brillat-Savarin, Rabelais, E. Rostand… et quelques autres…

Et pour finir : A l’entrée de la salle des agapes, un plat où les spec- tateurs arrivants auront déposé une recette de cuisine propre qu’ils apprécient… On pourra piocher dans ce plat à la fin du spectacle… et repartir ainsi avec une autre recette surprise : La confiture de nouille, Le veau aux carottes de Tante Franquette, Les petits frangins de Pi- galle et leurs dames en soufflé,… et le spectacle continuera de vivre à la maison.

« Qui dit truffe, prononce un grand mot qui réveille des souvenirs érotiques et gourmands chez le sexe portant jupes, et des souvenirs gourmands et érotiques chez le sexe portant barbe ».