Auteur/autrice : admin-exil
Aux origines de l’art
Soirée Aux origines de l’Art :
de la préhistoire à Soulages en passant par les Indiens Hopis.
Jeudi 20 juin à 21h salle de l’Atelier de l’Exil.
En extérieur, sous les étoiles !!
Projection des films documentaires en présence du réalisateur Jean-Luc Bouvret et de deux invités : Bernard Moninot, artiste-peintre et Joël Lambert, archéologue.
Suivie d’un moment convivial clôturant notre saison.
MÉMOIRES DE PIERRE (52’)
Etats-Unis, de l’art au temps des dinosaures ?
Avec nos deux enquêteurs Paul Bahn et Jean-Loïc Le Quellec, deux archéologues de renommée internationale, nous entreprenons une traversée de l’Ouest américain sur les pas de ses premiers occupants. Il s’agit d’une exploration inédite des plus longues galeries d’art rupestre au monde, contenant plusieurs milliers de peintures et de gravures mystérieuses, parmi lesquelles on a cru reconnaître des silhouettes de martiens ou d’animaux préhistoriques !
Une preuve qu’hommes et dinosaures ont pu coexister ? Entre évolutionnistes et créationnistes, les débats sont vifs. Mais les Indiens Hopis, anciens habitants de la région, vont entrer dans la danse…
MOMENTS D’ORIGINE (27’)
Le peintre Pierre Soulages et le préhistorien Michel Lorblanchet ont parcouru ensemble les haut lieux de l’art préhistorique. En ce jour de 1996, ils avaient rendez-vous dans la grotte de Cougnac (Lot) pour y admirer quelques merveilles …
Le film met en perspective l’échange en « tirs croisés » de deux regards puissants et singuliers sur les premiers « artistes » de notre humanité. Entre le peintre et le préhistorien se met en place au cours de la visite une profonde complémentarité des perceptions. Là où l’un essaie d’analyser et de comprendre, l’autre s’applique à « perce-voir »
Un artiste dit ou voit des choses qu’un préhistorien ne peut pas dire Michel Lorblanchet
Dans la peinture je guette aussi les moments d’origine, le moment où quelque chose ap- parait qui nous concerne profondément mais qui ne passe pas par les mots, qui ne passe pas par la pensée telle qu’elle peut s’exprimer avec des mots. Ces moments d’origine que je guette nous reportent à nos origines, et nos origines elles sont dans les origines de la peinture… Soulages
Rendez-vous au jardin
Rendez-vous aux jardins
À Vaux sous Bornay
dimanche 2 juin à 16h30
Bicyclette et mélancolie de la salade
lecture musicale et chantée
avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret
Une salade, vigoureusement fatiguée, se lamentait de sa propre fadeur. Hors donc, dans un panier voisin, séjour- naient des oignons violets, des bette- raves, un fenouil, et quelques poivrons charnus… Une carotte dans le garde à manger se fanait, elle aussi seule et triste depuis un moment. Tous ces lé- gumes s’envolèrent dans la salade mé- lancolique qui ne l’était plus du tout en fait. Un rai de soleil pâle qui rentrait du jardin traversa la cuisine… (à suivre)
Et la bicyclette, direz-vous ? Elle ar- rive, d’un petit train de sénateur, qui va piano va sano. Elle se fait le Mont Ventoux, le col du Galibier, l’arrivée sur les Champs-Elisées, repart sur les pavés du Nord, croise un boxeur poids plume, un nageur médaillé olympique et un paisible rouleur de chemins campagnards. Retour à la case salade, fraiche et bien croquante. Voilà l’his- toire. Vous suivez ?
En partenariat avec le Foyer Rural de Macornay.
Mémoire du geste….
Mémoire du geste, de l’espace et de la parole
du 13 au 31 mai, en partenariat avec la mairie et la médiathèque de Montmorot.
Action de prévention
Comment travailler sa mémoire, son équilibre, sa souplesse, sa bonne humeur, son sens de l’humour, sa santé globale, sans s’imposer de fastidieuses séances de gymnastique suédoise ou d’ennuyeuses leçons de diététique thérapeutique sans sel-sans sucre-sans matière grasse-et-sans rien dans l’assiette ; comment, oui, comment ?
C’est très simple :
-Réserver ses après-midi du 13 au 31 mai 2024. De 14h à 17h. -S’habiller confortablement
-Venir à la médiathèque ou dans la salle de l’Atelier de l’Exil au Boeuf sur le toit (co-voiturage prévu dès organisation en place)
Et
Propos possible :
De quoi parle-t-on au théâtre ? D’amour, souvent. Par exemple : Un homme est épris de deux femmes (mariées). Il envoie la même lettre d’amour aux deux. Mais ces deux dames sont amies, et confidentes, elles découvrent la manœuvre et décident de s’amuser … Il y a les protagonistes directs : les dames, l’amoureux transis, les maris, mais aussi les servantes, les voisines, tout le monde s’en mêle. Un propos léger, une comédie joyeuse, une morale exemplaire !!! Evidemment, tout est bien qui finit bien.
En quelques mots, et pour conclure : du 13 au 31 mai, se déroulera à la médiathèque ou au Boeuf sur le toit, avec l’Atelier de l’Exil, (un planning précis vous sera remis ultérieurement) sous l’égide et avec le financement de la Conférence des Financeurs de la Prévention de la Perte d’Autonomie du Jura, un atelier diversifié de pratiques artistiques, qui ne requiert aucun savoir faire préalable, destiné prioritairement aux personnes de plus de 60 ans.
STAGE DE RéALISATION
Du 15 au 19 avril de 14h à 17h30.
Stage Théâtre et Musique
avec Françoise Bénéjam et Michel Beuret
pour enfants et ados, à partir de 9 ans.
Tarif : 70€ + adhésion à l’Atelier de l’Exil : 15€
Présentation au public le vendredi 19 avril à 18h30
Bulletin d’inscription : télécharger le PDF
Les pratiques artistiques comme épanouissement, découverte de soi. Objectifs : se détendre, être réceptif, réactif, vaincre ses inhibitions, apprendre, et, et, et …se faire plaisir. Libérateur pour les plus timides, l’exercice des pratiques artistiques diminue progressivement les inhibitions, permet de s’affirmer. De situations en personnages, d’improvisations collectives en interprétation individuelle, les participants osent et acceptent le regard des autres. La timidité s’estompe au bénéfice du plaisir du jeu. Pas ou très peu d’apprentissage par cœur, ce n’est pas l’objet d’un stage de 5 jours.
CONVERSATIONS
Mercredi 10 avril à 16h30, dans le cadre Rencontres de théâtre amateur de Macornay,
Samedi13 avril à 14h30, sur réservation.
Par l’atelier théâtre enfants-ados avec Camille Bailly, Valentine Boudet, Erwan Chamouton, Clémentine Mollier, Fernand Pain, Nathan et Olivia Prud’homme et Céleste Rémili.
Conditions de la création du spectacle :
L’Atelier théâtre à débuté en janvier et se terminera lors des Rencontres de théâtre amateur de Macornay. Le projet est de s’amuser ensemble, de faire découvrir toutes sortes de textes et de formes de théâtre. Les participants se retrouvent d’une année sur l’autre, d’un stage à l’autre, et notre petite aventure crée des amitiés, des amours, génère des retrouvailles et des complicités. Certains participants sont d’une grande fidélité. Le théâtre fabrique aussi des familles de cœur.
Présentation du spectacle :
Si le temps ne changeait jamais, la moitié des hommes n’auraient aucun sujet de conversation. Mais heureusement, les inventifs inventent, les prévoyants préparent leur sujet de conversation, les organisés programment les rencontres, les angoissés suivent les conseils des guides: « Comment démarrer une conversation en 8 étapes…. ».
Les nouvelles et les rumeurs courent, les interdits sont tus, les silences s’installent, les aveux sont retenus. Si on ne se mêlait que de ce qui nous regarde, il n’y aurait plus de conversation possible!
Les jours passent, et l’on cause, l’on jase, l’on s’offre un brin de causette, l’on bredouille et parfois l’on radote.
Et la vie file.
Atelier de l’Exil, compagnie de théâtre, musique et danse basée à Lons-le-Saunier dans le Jura. Animée par Françoise Bénéjam et Michel Beuret.
Programme 04-07 2024
CONVERSATIONS
Mercredi 10 avril à 16h30 et samedi 13 avril à 14h30
STAGE de réalisation théâtre et musique
Du 15 au 19 avril de 14h à 17h30.
MéMOIRE DU GESTE, DE L’ESPACE ET DE LA PAROLE
Du 13 au 31 mai.
PROMENADE DANS LES JARDINS
Dimanche 2 juin à 16h30 à Vaux-sous-Bornay.
AUX ORIGINES DE L’ART
Jeudi 20 juin à 21h
GRAND STAGE D’éTé
Du 12 au 26 juillet
LES TROIS MOUSQUETAIRES
Représentations les 25 et 26 juillet à 19h.
Grande salle du Boeuf sur le toit.
Programme : télécharger le PDF
Sport, moi jamais.
Lecture spectacle. Samedi 23 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Mattéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.
Mise en espace d’extraits de pièces de Elodie Menant, Joël Jouanneau, Vincent Farasse.
L’intimité de quelques grands champions, Usain Bolt, Rafael Nadal ou Laure Manaudou, mais aussi celle de leur entourage, famille, pour découvrir ce qui les motive et leur permet de « voler ».
Egalement la vie d’une athlète plus anonyme – et fictive, Julie Linard – mais qui est également une championne, même si elle est moins médiatique et ne remporte pas de titres ; le sport ouvrier, etc…
Quel est notre rapport au sport ? En confrontant notre propre perception avec celle de ces athlètes hors normes, nous mesurons ce qui fait leur force : un mental extraordinaire au service d’une volonté de fer qui leur fait supporter un entraînement inhumain, avec une obsession : gagner !
En garde !
Soirée lecture et escrime. Vendredi 22 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Matéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.
Textes : Alexandre Dumas, Maupassant, Arturo Pérez-Reverte, Michel Zévaco.
Le sexisme : « Elles se mirent en garde au milieu d’une rumeur galante et de plaisanteries chuchotées. Un aimable sourire s’était fixé sur les lèvres de juges qui approuvaient les coups par un petit bravo ».
L’art : « Notre art tombe en désuétude, madame. Les combats à l’arme blanche se font rares, et puis le pistolet est d’un maniement plus facile et il n’exige pas une discipline aussi rigoureuse. L’escrime est devenu un passe-temps frivole. Maintenant on l’appelle sport ! Comme s’il s’agissait de faire de la gymnastique en maillot ! ».
L’épopée : « Au même instant son épée brilla à sa main, et il fondit sur son adversaire. Aussi les deux fers se trouvèrent-ils engagés jusqu’à la garde; ce fut son adversaire qui fit un pas de retraite ».
A bicycletteueu…
Soirée lecture et vélo. Jeudi 21 mars à 19h30, salle de l’Atelier de l’Exil.
Tarifs : 6€ , 15€ pour les 3 soirs
Semaine de la francophonie et de la langue française 2024.
Lecture, théâtre, combats, chansons, musique et apéro.
Françoise Bénéjam, Matéo Duluc, Théodora Stasinopoulou, Michel Beuret.
Textes : Antoine Blondin, Tristan Garcia, Emmanuel Ruben, Eric Fottorino.
Le tour de France : « Le final fut extravagant de beauté dans un décor digne du fameux Enfer du Nord qu’on évoque si souvent : pavés au sol, fumées au ciel, sinueux comme une tranchée. »
Le dopage : « Ernesto était capable de changer intégralement le sang de quelqu’un en moins de vingt quatre heures ; Victoria avait loué un garage isolé en banlieue et César, comateux, laissa son manager effectuer la transfusion ».
L’orgueil masculin : « En point de mire, un fada torse nu se déhanche sur sa bécane, c’est notre premier camarade cycliste, nous le prenons en chasse ; vexé d’être dépassé dans une pente par deux forcenés trimballant leur barda tels des bagnards, il remet un coup de collier, ne veut pas s’avouer vaincu et nous dépose en haut de la bosse. ».
Impeccable
Mardi 19 mars à 19h, salle de l’Atelier de l’Exil
IMPECCABLE, de Mariette Navaro avec Eliot Lerner.
Spectacle invité, partenariat avec Côté cour et Ligue de l’Enseignement 39.
Entrée : 10€, réservation obligatoire, places limitées
Une création de Théâtre sur paroles,
« Impeccable a été écrit pour un public d’adolescents, et pour interroger leur rapport au voyage, à l’étranger géographique (qui est parfois à quelques kilomètres de chez eux seulement) et, en miroir, à l’accueil de ceux qui passent les frontières, par choix ou par contrainte. Que veut dire «chez soi» dans un monde en plein mouvement, en pleine métamorphose ?
Dans Impeccable, le «chez soi» est l’espace de la salle de classe dans laquelle Viktor s’invite et vient bousculer les habitudes. Chez lui partout, il est un «citoyen du monde» qui chatouille chez ses auditeurs les notions d’identité et d’appartenance. Qui leur pose la question de leurs propres rêves d’ailleurs.
La langue que parle Viktor est une langue de théâtre. C’est une langue volontairement poétique, comme si le personnage portait son désir de liberté et d’insoumission jusque dans son langage. Viktor est un personnage qui prend la poésie très au sérieux. Pour lui chaque mot compte et chaque mot a un poids. Il s’exprime dans un français à la fois réinventé et très littéraire, comme peuvent le parler des passionnés de littérature qui ont une connaissance livresque de la langue étrangère ».